Basées sur le site de l’École polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), les Presses polytechniques et universitaires romandes (PPUR) ont pour objectif principal de publier et de diffuser, en Suisse comme à l’international, des ouvrages scientifiques fiables et pédagogiques issus des institutions académiques suisses, dont l’EPFL, et étrangères.
Cette exigence de qualité dans le choix des manuscrits et tout au long du processus éditorial leur font bénéficier d’une réputation internationale d’éditeur de référence auprès d’un vaste public francophone, mais aussi anglophone grâce à une distribution mondiale de ses publications.
Sensibles aux mutations du monde de l’édition, les PPUR proposent aujourd’hui la majeure partie de leur catalogue en ligne sur la plateforme perlego.com.
Depuis leur fondation, les PPUR ont édité plus de 1’200 titres et diffusé près de deux millions d’ouvrages. Chaque année, son catalogue s’enrichit de plus d’une cinquantaine de nouveautés.
Les PPUR sont renommées pour la haute qualité de leur production, internationalement reconnue.
EPFL Press est la marque éditoriale « scientifique et technique » des Presses polytechniques et universitaires romandes. EPFL Press a remplacé en 2020 le label historique et général « PPUR » qui regroupait l’ensemble de nos titres.
Notamment active dans les domaines de l’architecture, de l’urbanisme, des sciences naturelles, des sciences de l’ingénieur et de l’économie et management, EPFL Press accueille les publications de l’École polytechnique fédérale de Lausanne, mais aussi des universités et hautes écoles suisses et étrangères.
Fruit d’une collaboration avec les universités de Genève, Lausanne, Fribourg et Neuchâtel, ainsi qu’avec les hautes écoles de Suisse romande, Épistémé est la nouvelle maison d’édition que la Fondation des Presses polytechniques et universitaires romandes (PPUR) dédie aux sciences humaines et sociales, tous domaines inclus. Orientée sur la publication Open Access Gold, Épistémé propose également une diffusion de ses titres sous forme imprimée, en Suisse et à l’étranger.
Afin de faciliter les démarches des auteurs et autrices, Épistémé s’appuie sur des chargés de liaison éditoriale qui, au sein de chaque université romande, ont pour mission d’accompagner les chercheurs et chercheuses dans les premières étapes de leurs projets.
Université de Genève : Loraine Chappuis · loraine.chappuis@unige.ch
Université de Lausanne : Romain Bionda · romain.bionda@unil.ch
Université de Fribourg : Sophie Jaussi · sophie.jaussi@unifr.ch
Université de Neuchâtel : Hélène Bellon-Méguelle · helene.bellon-meguelle@unine.ch
Lancées en 2022, les Éditions 41 dressent un pont entre sciences, actualité et vie pratique. Ces ouvrages abondamment illustrés et dans l’air du temps visent à offrir à un large public un savoir stimulant, pertinent, et directement en phase avec son quotidien.
Le Savoir suisse publie, sur divers sujets concernant le pays, des ouvrages de référence destinés à un large public. Il vise ainsi à rendre accessibles les travaux de recherche réalisés par les communautés académiques de Suisse ou des auteurs indépendants.
Lancée en 2002, sa collection encyclopédique au format de poche contribue à nourrir le débat public au moyen de données fiables et de réflexions qui situent l’évolution des connaissances dans le contexte européen et international. Elle couvre les domaines suivants: Arts et culture, Histoire, Politique, Société, Économie, Nature et environnement, Sciences et technologies. Le Savoir suisse propose aussi des biographies dans une série Figures et accueille des prises de position personnelles dans une série Opinion.
Depuis 2021, il publie également des ouvrages hors collection qui, dans des formats variés et des formes d’expression délibérément décloisonnés, proposent des regards différents sur la Suisse.
Les ouvrages du Savoir suisse sont publiés par les Presses polytechniques et universitaires romandes (PPUR), sous la direction d’un Comité d’édition qui comprend: Robert Ayrton, politologue et avocat; Olivier Babel, secrétaire général de LIVRESUISSE ; Julia Dao, collaboratrice personnelle, État de Vaud; Nicole Galland-Vaucher, professeure honoraire de l’Université de Lausanne; Dominique Dirlewanger, maître de gymnase et chercheur associé à l’Université de Lausanne; Véronique Jost Gara, vice-présidente du Comité; Prof. Jean-Philippe Leresche, Université de Lausanne, président du Comité.
Membres honoraires : Bertil Galland, journaliste et éditeur ; Anne-Catherine Lyon, ancienne conseillère d’État (Vaud); Nicolas Henchoz, directeur EPFL+ECAL Lab ; Stéphanie Cudré-Mauroux, conservatrice aux Archives littéraires suisses, Berne; Jean-Christophe Aeschlimann, journaliste et conseiller en communication, Bâle; Giovanni Ferro Luzzi, professeur à l’Université de Genève; Eric Hoesli, président du conseil d’administration du Temps; Thierry Meyer, conseiller en communication, ancien rédacteur en chef de 24 Heures.
La publication des volumes Savoir suisse est soutenue à ce jour par les institutions suivantes :
que l’Association « Savoir suisse » et l’éditeur tiennent ici à remercier.
La maison d’édition PPUR bénéficie d’un soutien structurel de l’Office fédéral de la culture pour les années 2021-2024.
Il a fallu la force de conviction du professeur Jacques Neirynck pour que les Presses polytechniques romandes (PPR) voient le jour le 23 octobre 1980. Souhaitant combler un manque dans l’édition scientifique francophone, son but est à la fois de susciter la publication de manuels de qualité pour les étudiants de l’Ecole et de valoriser les activités d’enseignement et de recherche. En particulier, il s’agit de garantir le processus éditorial du Traité d’Electricité dont les premiers volumes paraissent dès 1976 chez l’éditeur Georgi.
Car auparavant, la structure existe déjà dans les faits sous la forme d’un service d’édition qui prépare les volumes publiés soit par Georgi soit par P.-M. Favre : elle est organisée autour de Jacques Neirynck et de Claire-Lise Delacrausaz qui coordonnent tout le travail éditorial, appuyés par une équipe d’assistants et de secrétaires rattachés aux unités. Le souci est alors grand de collaborer avec les éditeurs de la place, de ne pas leur faire concurrence, et de privilégier un processus qui permette aux étudiants de bénéficier du meilleur prix.
C’est la Société d’Aide aux Laboratoires (SAL) qui va permettre de donner corps à cette émanation de l’Ecole, en dotant la Fondation de son capital d’origine par une décision du 4 septembre 1980, signée par son président, Monsieur Charles Maillefer et par Bernard Vittoz, président de l’EPFL. A deux reprises la SAL augmentera sa mise de fonds pour permettre aux PPR de développer leurs activités. Dès lors les premiers ouvrages portant leur copyright paraissent, un concours est lancé pour la création d’un logo, et tout naturellement Jacques Neirynck est nommé président du Conseil et Claire-Lise Delacrausaz directrice de la Fondation. Un transfert de charges et de compétences va s’opérer progressivement, avec l’appui de l’Ecole, des unités et laboratoires aux PPR. Cela ne se fera pas sans quelques grincements de dents… parce que la fondation véhicule forcément une image institutionnelle, parce que les PPR vont s’ouvrir très vite vers l’université et que d’autres éditeurs gesticulent dès lors en tout sens pour imposer des Presses universitaires suisses qu’ils se verraient bien diriger, parce qu’enfin, toute latitude est voulue par les initiateurs du projet dans la ligne éditoriale et la sélection des ouvrages publiés.
Le succès commercial du Traité d’Electricité, coédité en France sous une version brochée par l’éditeur Dunod-Bordas et des premiers manuels PPR sont une émulation pour les professeurs de l’Ecole et renforcent la conviction des PPR dans leurs principes. Il permet aussi d’attirer l’attention des grands éditeurs et diffuseurs sur cette petite maison d’édition scientifique lausannoise, qui se bâtit sur un Traité d’Electricité sur lequel aucun d’entre eux n’a voulu miser. Très vite les instigateurs du projet se rendent néanmoins compte qu’il faut, pour devenir crédible, atteindre une taille critique, et qu’un passage progressif à l’impératif de la rentabilité est obligé. En 1982, les PPR rachètent à l’éditeur Georgi le stock, les droits et obligations liés au Traité d’Electricité, et l’effort est mis sur le développement de la diffusion par la constitution d’un réseau propre de librairies, de revendeurs, en Suisse et à l’étranger, et l’élaboration d’une base de données prospect qui est encore aujourd’hui l’instrument principal de promotion des Presses polytechniques.
La publication du Traité d’Electricité est parachevée en 1986 avec la publication du 22e volume, alors que la plupart des autres volumes ont déjà fait l’objet de nombreuses rééditions et qu’une quinzaine d’entre eux ont été traduits en anglais ou en espagnol. Sur leur lancée les PPR entreprennent la publication d’un Traité des Matériaux, fruit de la collaboration de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, de l’Université catholique de Louvain, de l’Université de Nancy I et de l’Institut national polytechnique de Lorraine, et celle du Traité de Génie civil de l’EPFL. L’activité éditoriale se développe, les ventes également mais pas suffisamment pour couvrir les investissements liés à la constitution d’un catalogue riche et varié. Des collections universitaires ont continué à voir le jour et c’est alors que les PPR se tournent vers les universités romandes pour les inviter à soutenir les activités de la fondation. Au moment même où elles célèbrent leurs 10 ans d’activité, les PPR deviennent PPUR : Presses et polytechniques et universitaires romandes.
Mais dans une période où les budgets ont plutôt tendance à diminuer, les universités vont rester en retrait et , sous la conduite de Pierre-F. Pittet qui succède à Jacques Neirynck à la présidence du Conseil de Fondation, les PPUR n’ont d’autre choix que de redresser la barre en resserrant leurs activités et en opérant un assainissement financier, qui doit leur permettre de pérenniser la fondation et de poser les bases d’une nouvelle étape de développement. Elles resserrent leur politique éditoriale, diminuent leurs tirages, renforcent leurs synergies avec l’EPFL et remboursent intégralment emprunt qui leur avait été consenti.
Le stock progressivement assaini, le réseau de diffusion réorganisé, d’importants succès éditoriaux viennent enrichir le catalogue, dont l’un des plus emblématiques demeure le manuel de construction Bâtir que publie René Vittone en 1996. L’exigence de qualité reste une constante qui établit la réputation des PPUR de manière durable: de nombreux ouvrages et auteurs sont couronnés de prix – dont à plusieurs reprise le Prix Roberval du meilleur manuel d’enseignement supérieur en technologie où les PPUR sont très régulièrement finalistes (liste complète)–, les grands éditeurs internationaux tels John Wiley, Springer Verlag ou Kluwer publient les traductions anglaises de nos livres, enfin le Centre National d’Etudes des Télécommunications (CNET) dès la fin des années 1980 puis l’Agence universitaire de la francophonie (AUF) se tournent vers les PPUR pour les inviter à copublier dans leurs collections. En 1998, c’est l’Institut national des sciences appliquées de Lyon (INSA) qui choisit les PPUR en tant que leur éditeur officiel.
La fin des années 1990 voit une première irruption fracassante des nouveaux supports électroniques de lecture et l’avènement de contenus augmentés: la mort imminente du livre est programmée et le secteur de l’édition est en pleine ébullition. Les PPUR, à l’instar des autres éditeurs, s’interrogent et se passionnent. Des investissements considérables sont consentis par les grands groupes pour développer des plate-formes de diffusion électronique, des montages rapides sont faits pour donner un cadre légal à l’exploitation numérique, et parallèlement de multiples webrairies voient le jour inspirées par Amazon qui pourtant perd des sommes astronomiques. La révolution sera numérique… ou ne sera pas, pourtant «s’il était apparu après le support électronique, le livre aurait à coup sûr constitué une avancée technologique majeure…». Pourtant le livre électronique reste à inventer, les formats multiples qu’ont voulu imposer chaque développeur ont ruiné les investisseurs, et en fin de compte seule la diffusion électronique de contenus s’est peu à peu imposée, même sans critère de rentabilité, en particulier dans le domaine scientifique. Les PPUR développent leur propre stratégie. Dépourvues des moyens d’investir dans des systèmes coûteux et à la technologie non garantie, elles optent pour un passage progressif au double support électronique-papier, avec la volonté d’en garder la maîrise propre. Dans l’intervalle, elles sont parmi les premiers éditeurs suisses à mettre en ligne, dès le printemps 1996, leur catalogue complet en offrant un système de commande sécurisé pour leurs ouvrages. Plusieurs étapes vont parsemer le développement de leur site, renforçant à chaque fois les fonctionnalités offertes aux utilisateurs et se traduisant par un essor recherché des ventes en ligne.
La concurrence est vive et les maisons d’édition scientifique passent de mains en mains, se regroupent au sein de conglomérats aux frontières mouvantes. Pour survivre il faut cultiver sa niche sans transiger sur ses exigences. Le catalogue des PPUR capte de plus en plus d’auteurs rattachés à des universités en Suisse et à l’étranger, ainsi qu’aux écoles HES, et paradoxalement il devient de plus en plus difficile de convaincre les professeurs de l’Ecole de fournir l’effort nécessaire lié à la publication d’un manuel. Car l’heure est aux changements des plans d’étude, aux départs à la retraite et donc au renouvellement des manuels destinés aux étudiants.
Le vrai défi réside dans la capacité à convaincre les auteurs potentiels d’entreprendre un processus de publication. Soumis à un cumul de charges académiques et administratives, sollicités continuellement, mis sous pression par les facteurs d’impact, ils préfèrent investir dans la publication d’articles dans les revues dont ils peuvent mesurer directement la valeur ajoutée. On ne publie pas en science pour toucher des royalties, le manuel ou l’ouvrage de référence ne sont pas véritablement reconnus pour ce qu’ils procurent à l’étudiant, à l’ingénieur, mais le livre existe, il est lu, il passe de mains en mains, circule, se vend, il est parfois traduit, primé, il est réimprimé, mis à jour, il fait connaître son auteur hors frontières et peut lui amener des sollicitations imprévues, le livre s’inscrit dans la mémoire collective.
Mais revenons à la fin des années 1990 où les PPUR se trouvent dans une phase-clé : elles doivent, si elles veulent survivre dans le long terme, continuer à se développer; les projets sont toujours aussi nombreux mais ils avancent parfois trop lentement, la pression du support numérique est forte, le vent de la mondialisation souffle dans les sciences et sur le campus et la demande est de plus en plus insistante de la part de nos auteurs pour être publiés en anglais, deux professeurs sur trois qui intègrent l’Ecole ne sont pas francophones, enfin le processus de Bologne réorganise les cycles d’études. Si les PPUR ont dès leurs débuts publié en anglais – des proceedings essentiellement puis des monographies –, elles ne sont néanmoins pas en mesure d’en assurer la distribution dans le monde anglo-saxon. Elles ont jusqu’à ce jour privilégié la vente de droits de traduction à des éditeurs, observant au passage qu’une diffusion en anglais n’est pas forcément synonyme de plus large diffusion en valeur absolue, tant le marché anglo-saxon est plus concurrentiel que celui de la francophonie. Néanmoins ne rien faire, c’est laisser à terme les grands groupes venir cueillir les projets alors qu’il faut mettre sur pied la montée en puissance des PPUR. La décision est prise de développer un programme éditorial original en anglais. Les compétences existent, il faut un label exportable, il faut surtout se greffer sur un réseau de distribution performant. En 2002, l’exploitation du label EPFL Press est concédée par l’Ecole aux PPUR et en 2003 un contrat de distribution mondial est signé avec le groupe Taylor&Francis : une fois encore la SAL va soutenir les PPUR dans cette étape décisive de leur développement, et les PPUR engagent Frederick Fenter dès avril 2004 pour diriger cette nouvelle ligne éditoriale : très vite les premiers volumes paraissent et le catalogue s’enrichit au rythme annuel de 8 à 10 nouveaux titres (www.epflpress.com).
Toujours en ce début du 21e siècle, et alors que Francis Lévy reprend les rênes à la présidence de la Fondation, un autre projet démarre qui connaît un succès immédiat : la publication d’une collection de vulgarisation qui part du principe que trop de travaux de recherche pointus mais passionants restent confinés dans les milieux spécialisés et qu’il manque un support de diffusion adapté à un plus large public, à la manière d’un corpus encyclopédique : ce sera la Collection Le Savoir suisse, soutenue par des partenaires institutionnels ou privés, forte de quelque 85 volumes publiés en 10 ans et régulièrement réimprimés, sous la direction d’un comité présidé par l’éditeur Bertil Galland. Pour les PPUR c’est l’ouverture à un plus grand public et à des thématiques universitaires qu’elles avaient dans un premier temps écartées (www.leSavoirSuisse.ch). Le succès est immédiat.
Plus de 30 ans ont passé, et les PPUR sont entrées dans l’âge de la maturité. Les grands principes qui ont prévalu à leur fondation les ont conduites dans les différentes étapes de leur développement : ne pas transiger sur la qualité, s’ouvrir au monde universitaire, élargir inlassablement la diffusion, servir au mieux leurs auteurs. Près de 1’000 nouveautés et nouvelles éditions publiées, près d’un million et demi de volumes diffusés. Les promoteurs de ce projet un peu fou tout comme ceux qui en ont été ou en sont les artisans peuvent se regarder en face, même si rien n’est jamais acquis et que de nouveaux défis sont à relever. A l’heure du tout internet, voire du tout gratuit, les nouvelles pratiques de lecture et l’omniprésence des tablettes et smartphones obligent les éditeurs à se réinventer, en multipliant les offres, les formats et les innovations. Nul ne peut savoir avec certitude comment évoluera le monde du livre et de la publication face à la toute-puissance numérique, mais la conviction qu’il restera toujours une place, redéfinie dans la cohabitation des supports, pour le livre, nous habite intimement. Aujourd’hui nos livres sont publiés en chinois, nos titres en anglais paraissent dans des coéditions adaptées au grand marché émergent de l’Inde, un partenariat éditorial démarre avec l’EHL (Ecole Hotelière Lausanne), près d’un titre sur trois de notre catalogue est accessible en format numérique, le développement de nouvelles plate-formes de contenus est en projet.
Aujourd’hui les PPUR comptent parmi les premiers éditeurs romands et ont su s’imposer parmi les éditeurs scientifiques et techniques de tout premier plan. Elles ont pu compter sur le soutien constant de l’EPFL dans la publication des manuels de ses professeurs, et de nombreuses autres institutions auxquelles sont rattachés leurs auteurs, c’est l’occasion ici de les en remercier une nouvelle fois. Les PPUR sont le reflet d’une entreprise collective à laquelle ont collaboré de près ou de loin plus de 1000 professeurs et adjoints scientifiques, auteurs, directeurs de collection et membres du Conseil de Fondation, secrétaires et collaborateurs: ce succès est le leur, tout comme le sera demain celui d’EPFL Press.
La Fondation des Presses polytechniques et universitaires romandes est une émanation de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. Son succès est avant tout un succès collectif auquel ont participé un grand nombre de professeurs de l’Ecole et bien entendu, derrière chaque entreprise collective il y a des entrepreneurs, des artisans et surtout des idées fortes… Parmi elles, deux principes prévalent encore aujourd’hui: d’une part l’exigence clairement énoncée d’une haute qualité scientifique et pédagogique, exprimée tant sur le fonds que sur la forme, d’autre part une volonté de diffuser le plus largement possible ses publications et de bâtir une maison d’édition crédible et propre à attirer des auteurs de toutes les communautés académiques: c’est incontestablement là qu’il faut chercher les clés de ce succès.
Basées au Rolex Learning Center, les Presses polytechniques et universitaires romandes sont le partenaire privilégié des institutions universitaires de Suisse romande, en premier lieu desquelles l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne et l’Université de Lausanne. Partenaire éditorial de l’Institut national des sciences appliquées (INSA) de Lyon et de l’Ecole hôtelière de Lausanne (EHL), les PPUR publient en anglais sous leur label EPFL Press distribué mondialement par Taylor & Francis et elles sont l’éditeur de la Collection Le Savoir suisse.
40 ans après leur fondation par le professeur Jacques Neyrinck, elles sont aujourd’hui l’un des leaders européens sur le marché de l’édition scientifique et technique francophone, avec près de 1’000 titres publiés et près d’un million et demi d’ouvrages diffusés.
Label universitaire de prestige à l’instar de MIT Press ou de Cambridge University Press, les PPUR sont renommées pour la haute qualité de leur production, internationalement reconnue. Elles ont signé plus d’une centaine de contrats avec les meilleurs éditeurs pour la publication en langue étrangère de leurs ouvrages, et ont été distinguées de nombreux prix et trophées de l’édition scientifique.
Les PPUR publient des ouvrages en anglais, sous leur label EPFL Press, dans un large spectre de domaines: ingénierie, architecture, management, etc. Elles sont aussi l’éditeur de la Collection Le savoir suisse. Alter-ego suisse des fameux « Que sais-je ? », cette collection encyclopédique de poche propose au grand public, dans un langage clair et visible, le dernier état des connaissances de la Suisse dans différents domaines: arts, culture, économie, politique, environnement, histoire, etc.
Les ouvrages et eBooks des PPUR sont distribués mondialement par les meilleurs professionnels du domaine et disponibles dans plus de 1500 librairies et sur Internet.